Quand tout paraît lent, quand tout est endormi,
Lorsque la montre semble sur pause
Et que le jour se transforme en nuit,
En toupie, je songe que l’horloge se métamorphose
L’ennui m’enduit lorsque stagne le temps,
Alanguie par les secondes qui s’éternisent
Je me languis d’un espace foisonnant de vie
Irrigué par l’élan et le mouvement
Lorsque rien n’égaye les minutes qui passent,
J’attends patiemment, avide du tourbillon
De la tempête, des marées et des passions,
Toutes ces choses qui nous font nous sentir vivant.
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